Fanfics Viewfinder

L'atmosphère était plus qu'électrique dans le couloir où gisait le corps sans vie de l'homme de main de Mikhail. Asami enrageait intérieurement et se promis d'éliminer coûte que coûte ce sale russe. Il commença à quitter les lieux, pendant que ses hommes s'affairaient à tout nettoyer, quand Feilong, qui avait tout vu depuis les écrans de contrôle, arriva à l'encontre du yakuza.
« Ne m'arrête pas Feilong ou tu risque de finir comme cet homme, je te préviens », lâcha un Asami plus qu'excédé.
« Je ne compte pas t'arrêter ni même t'aider, cependant je veux récupérer mon titre de propriété donc il faudra que tu fasse avec ma présence. Par contre, si il t'arrive quelque chose n'espère même pas mon aide », répondit Feilong, plein de défiance.
« Je n'ai jamais compté sur ton aide auparavant, ce n'est pas maintenant que je le ferais. Ne te mets pas sur mon chemin c'est tout ce que je te demande, à moins que tu ne souhaite retrouver ton père prématurément. »
Asami savait vraiment être désagréable, à la limite méchant, quand il le voulait. Feilong venait une fois de plus d'en faire les frais.

Asami décida de ne pas perdre une minute et appela son chauffeur. La limousine attendait déjà le yakuza sur les quais quand le bateau arriva.
La voiture partit immédiatement vers le lieu du rendez-vous tandis qu'Asami avait bien du mal à rester calme et à trouver un plan pour sortir son amant de là.

Pendant ce temps, Akihito dormait d'un sommeil très agité. Il n'arrêtait pas de faire des cauchemars. Peut-être était-ce dû aux somnifères que lui avait fait ingurgiter Mikhail pour qu'il se tienne tranquille. Il souffrait énormément de cette situation, de cet emprisonnement mais surtout du fait qu'il ne pouvait toujours pas revoir Asami. Cette discussion téléphonique lui avait fait autant plaisir que mal. Il était heureux d'avoir entendu la voix de son amant et malheureux de ne pas être à ses côtés. En pensant au yakuza, le jeune photographe passa des cauchemars aux rêves érotiques le mettant en scène avec son amant. Ce changement de comportement fût découvert par son geôlier qui lui asséna un coup le réveillant et le fît se tordre de douleur. Le jeune prisonnier pleurait tout en murmurant « Asami vient me chercher, je t'en prie. Je t'ai... ». Choqué par ce qu'il allait dire, Akihito resta prostré.
Comment ça « je t'aime », nan mais ça va pas mon vieux. Comment peux-tu aimer un mec pareil.
Le photographe compris alors ce qu'il avait toujours refusé de reconnaître. Il était amoureux d'Asami mais il était hors de question de l'avouer à son amant, il en serait trop content et s'imaginerait pouvoir lui faire faire tout ce qu'il veut.

C'est à ce moment qu'Akihito prit conscience du vacarme qui se déroulait dans le couloir. L'homme qui le surveillait était d'ailleurs parti. Des coups de feu se firent entendre. Akihito commença sérieusement à s'inquiéter et à se demander ce qu'il se passait dehors. Il se leva de son lit et s'avança vers la porte dans l'optique de l'ouvrir. Cependant, celle-ci ne répondit pas à ses espérances et resta fermée. Il se résigna donc à retourner sur le lit quand il entendit quelque chose siffler à son oreille. Il sentit alors un douleur lancinante s'immiscer au niveau de sa pommette droite. Akihito passa sa main à l'endroit où il avait mal et découvrit du sang sur ses doigts. Son visage devînt livide et il tomba sur ses genoux sans quitter des yeux le sang sur ses mains. Le jeune homme ne recouvrit ses esprits qu'au moment où il entendit la porte de sa chambre voler en éclat. La peur le fît agir instinctivement. Il se mit à courir le plus loin possible de l'individu qui était entré. Il ne savait pas qui c'était et ne voulait pas le savoir.
Une main agrippa alors le poignet d'Akihito. Mut par la peur, le jeune homme se prépara à frapper son agresseur au visage mais celui-ci lui agrippa son autre poignet. Akihito, qui n'avait toujours pas ouvert les yeux, sentit alors des lèvres se poser sur les siennes dans un doux baiser. Reconnaissant très bien ces lèvres, Akihito ouvrit alors les yeux, découvrant ainsi le regard ensorcelant d'Asami.
Des larmes de joie coulèrent le long de ses joues tandis qu'il répondit au baiser de son amant. Asami s'écarta un peu d'Akihito laissant celui-ci encore plus en état de manque.
« Est-ce que tu vas bien? », demanda le yakuza sans quitter son jeune amant du regard. Akihito ne répondit pas tout de suite. Il contempla pendant un petit moment l'homme en face de lui pour se prouver qu'il ne rêvait pas.
« Bon tu vas me répondre au lieu de me reluquer comme ça », fit Asami, excédé par cette attente.
Le ton de la voix du yakuza sortit Akihito de sa rêverie, le ramenant soudain à la réalité.
« Oui je vais très bien, merci », répondit le jeune photographe essayant de feindre l'indifférence.
Akihito voulu rajouter autre chose mais Asami ne lui en laissa pas le temps. Il le tira hors de la chambre traversant ainsi le couloir jonché de corps sans vie. L'odeur du sang et de la mort donna des hauts le cœur au jeune homme.
Ils arrivèrent assez rapidement à la sortie de l'immeuble croisant ainsi un Feilong essoufflé et couvert de sang tout comme son amant.
« Il s'est enfuit avec quelques uns de ses hommes. Mes hommes sont à ses trousses, dit Feilong à Asami sans même s'arrêter de marcher. A ce que je vois tu as récupéré ton cher Akihito donc tu dois me rendre mon titre de propriété du casino. »
Le yakuza se dirigea sans un mot vers sa limousine. Il ordonna à son amant d'y entrer et récupéra un document qu'il alla remettre à Feilong.
« Voilà ton titre de propriété et ne viens plus jamais te mettre sur mon chemin ou t'en prendre à ce qui m'appartient », lança Asami à son interlocuteur sans essayer de cacher sa colère.
« Oh mais il m'appartient aussi désormais, d'ailleurs j'aimerais beaucoup y re goûter, il était très savoureux et tellement doué », railla Feilong.
Ce n'était pas le bon jour pour provoquer Asami et Feilong s'en rendit bien compte quand le canon du revolver automatique du yakuza se posa sur son front.
« Ne me pousse pas à bout je te préviens », grogna Asami.
Asami s'éloigna alors de Feilong et retourna vers sa limousine où l'attendait son amant. Il s'arrêta en cours de route et se retourna pour faire face au chinois.
« C'est mon dernier avertissement, la prochaine fois que tu me contrarie tu es un homme mort. J'espère que c'est assez clair. »
Sur ce, Asami entra dans sa voiture qui partit aussitôt vers les appartements du yakuza.
Arrivés dans la chambre d'Asami, Akihito se sentit en sécurité et commença à retrouver tout son calme. Ils n'avaient pas échangé un seul mot durant le trajet alors le jeune photographe décida de stopper ce lourd silence mais il fût devancé par son amant qui venait de boire cinq verres de saké d'affilé.

« ils sont morts? » demanda Akihito
« Ne t’inquiète pas pour ces choses insignifiantes gamin, ils font juste dodo » répliqua Asami
Sur ces mot Asami sortit un collier et décida de le mettre à son amant pour qu'il puisse le tenir en laisse –histoire que le jeune photographe ne lui échappe plus, du moins pour la soirée, car évidement sont chat sauvage n’accepterait jamais.
Sur ces pensées savoureuses et promesses de futurs jeux intéressants, un sourire sadique apparut sur les lèvres du yakusa.
Après s’être occuper des hommes de mains de Mikhail –ce qui lui prit un certain temps- l’homme se tourna vers son amant et se retrouva complètement désemparé devant le spectacle qui s’offrait sous ces yeux : Akihito avait ses nerfs qui lâchaient, il n’arrivait pas à se remettre de toutes ces émotion, son enlèvement, sa séquestration, la venue d’Asami à son secours et le fait qu’il ait accepté ses propres sentiment envers son « propriétaire » l’avait traumatisé.
Asami ne connaissait qu’une seule manière de remettre son amant en état, la provocation ainsi il pensait pouvoir revoir cet éclat qui l’avait tant attiré lors de leur première rencontre, le défi brillant dans ses yeux et il se lança.

Et hop hop un câlin sous la couette pour reprendre le cours normale des choses

« Oh mon pauvre Akihito, pour te sauver, te purifier de tout ces vilains messieurs ... je vais te soulager viens là que je t'attrape donc !!! » il tenta d’attraper le jeune homme qui tenta tant bien que mal de rester hors atteinte
« Je vais effacer toutes traces de ses hommes ... s’il le faut je ... chaque parcelles de ta peau ... »
Akihito ne montrait aucun signe de changements, toujours plongé dans son état de semi-conscience, à part le fait de vouloir rester hors d’atteinte du yakusa. Le dit yakusa décida donc de contourner le problème et de changer son angle d’attaque
« Gamin, tu ne veux pas te venger de ce russe ?? "
Akihito tilta est se reprenant il prit une pose de réflexion « euuuhh ........ »
Asami reprit « Si tu ne veux pas je m’en charge moi même.... »
A ces mots une seul pensée envahie l’esprit du jeune homme : ouaaaiiii achève le jusqu’à ce qu'il n'en puisse plus bouger son c.. hum son postérieur je te laisse l'honneur Asami…
Asami ravi de voir que le jeune homme reprenais du poil de la bête arbora un regard lubrique « mais d'abord tu passes à la casserole mon cher et tendre »
« moi ? Jamais ! » Cria t il en essayant de se sauver dans la salle de bain
« Ah j te tiens petit sacripant, tu ne serais pas en train d’essayer de m'échapper? N’oublie pas que tu m'appartiens.... »
« Qu’est-ce que… tu oses arborer un tatouage de Feilong ? » Le regard d’Asami se fit glacial.
ça va chauffer et je suis sur que ça va mal finir pour moi ne put s’empêcher de penser le photographe.
Voyant que son jouet devenait pétrifié d’horreur en imaginant sa colère, Asami décida de jouer encore un peu avec lui, il était tellement mignon qu’il ne pouvait s’empêcher de vouloir le torturer
« Oh Akihito, j'ai bu trop de saké, viens là que je te couvre de bisous .....
Et un bisou pour toi … un bisou pour moi… hic un bisou pour Feilong ...
pour tao, pour toi et pour ta peau si douce » il ponctua chacune de ses parole d’un baiser retentissant sur la joue du jeune homme.

Akihito réagit enfin sortant de son état de stupeur devant le comportement de son vis-à-vis.
« Non Asami pas maintenant » dit il tentant de s’échapper
« Pas maintenant hum ... ça veut dire que tu y penses, tu as vraiment l'esprit perverti Takaba, serait-ce ce séjour si loin de moi qui t'as rendue comme ça ? » ne pus s’empêcher de dire le yakusa tout en agrippant le bras de sa « victime »
Le jeune photographe fut blesser par les paroles de son aîné et les yeux remplit de colère il répliqua :
« Mais qu'est- ce que tu racontes, tout ce sang que tu as fait couler te monte à la tête »

« Le sang ne me monte pas à la tête, il monte là » précisa t il en faisant glisser la main du photographe vers son entrejambe.
Akihito retint sa respiration alors qu’un joli rouge carmin envahissait son visage, et son propre désir commençant à s’éveiller.
« D'abord ... je veux... prendre ... une douche ... Asami »

« Ok, vas donc prendre ta douche … » dit-il d’une voix suave.

Akihito se laissa glisser sur le carrelage et tomba par terre rouge comme une écrevisse le souffle court, il se retourna et répondit rapidement :
« Mais, que- qu'est ce que tu vas encore imaginer ??? Je vais juste me rendre propre, c'est tout !!! »
« Ah bon ? tu vas frotter partout ? Tu n’aurais pas besoin d'un peu d'aide par hasard? dit malicieusement Asami en s'approchant.
«Nan, ça iras merci, t'as beau me traiter de gamin je suis assez grand pour me laver tout seul ! »
Recule… mais recule !! pensa le jeune photographe, alors qu’Asami au contraire s'approchait à pas félin.
«Mais voyons tu es blessé !! Non je ne te laisse pas le choix, je vais être OBLIGÉ de te laver et ce PARTOUT .... » Annonça triomphalement l’homme d’affaire, il avait enfin réussit à le faire aller où lui, Ruychi, le voulait et son jouet ne s’en était même pas rendu compte.
Asami attrapa sa propriété par les bras et l'emporta dans la douche, l'eau commença à couler dès que les deux hommes furent entrés.

Akihito le dos contre le carrelage de la cabine fixait Asami, l'air apeuré et aussi tremblant du désir qui s'éveillait, et ce bien malgré lui. Lorsque son amant leva un bras pour attraper le savon, Akihito sursauta légèrement. Mais confus et honteux il baissa la tête mais que se passait-il ?
Asami recula de deux pas, et Akihito le dévisagea des pieds à la tête constatant de ce fait que le désir irradiait de tout son corps.
«Tu me désires tant que ça au point de me reluquer ainsi » se moqua le yakusa, un sourire pervers au coin des lèvres.
«Effectivement le sang ne t'ai pas monté qu'à la tête » répondit le jeune homme d’une voix mal assurée.
«Oh mon petit Akihito devient drôlement impatient, ça me donne envie de jouer encore un peu avec toi » Un rire sadique retentit à peine atténué par le bruit de l’eau se deversant dans la salle.
Les vapeurs d'eau chaude commençaient à faire tourner la tête d'Akihito, de même que le souffle d'Asami qui, se rapprochant de lui, le rendait encore plus fébrile et tendu.
Tout à coup il baissa la tête, et remarqua que son désir ne demandait plus qu'à être assouvi.
Asami le remarqua et son sourire s’aggrandit.
«Oh le vilain petit garçon ..... »

Akihito essayait vainement de nier, mais son corps le trahissait, exprimant tout le contraire de ses mots, il attendait et redoutait cet instant, car il savait plus que quiconque ce que c'était que d'être une poupée entre les mains du mafioso...
Le jeune homme essaya de s’échapper du coin où il était coincé, mais ne voyait pas grand chose, en effet Asami avait enclenché la fonction "sauna" ou "brume" il n’en savait trop rien, de toute manière, il n’y avait que les riches pour se payer de telles douches...

Tout a coup il lui sembla distinguer une forme qui envahit la douche, il sentit ses jambes le lâcher, c'était trop d'émotion pour lui ...
il se rapprochait de plus en plus vers l'inconscience quand tout a coup une sensation le rappela à l'ordre : on venait de lui frôler l'entre-jambe, c'était doux, agréable...
il se releva d'un coup
« Asami, ce n'est vraiment pas drôle ! Arrête de te moquer de moi !! »
«Mais que veux tu que je te fasse mon cher ? »
«Idiot... Laisse-moi donc me laver en paix ! » S’énerva le photographe
Le brun s'approcha et commença à passer le gant plein de savon mousseux sur les épaules de son amant... Akihito en tremblait tellement le contact du gant de toilette était agréable, combiné au caresses de son amant, cela en devenait insoutenable.
« Alors Akihito on devient dur de partout, tes muscles sont complètement contractés, détends toi » murmura t il en passant le doigt le long de la colonne vertébrale du plus jeune ce provoqua des frissons à sa victime volontaire.
« Je ne pensais pas que tu réagirais aussi rapidement ! »
Akihito ne bougeait pas, il laissa le Yakusa le parcourir avec ses longs doigts fins.
Sa main se stoppa sur sa nuque, quand soudainement il attrapa les cheveux mouillés, et les lui tira en arrière, pas de façon violente comme il s'y attendait, Asami le fit avec douceur, presque tendresse.
Akihito ferma les yeux, puis se laissa embrasser par son amant.
Ces lèvres si douces, sa langue si chaude, non il n'avait pas oublié le gout qu’avaient les baisers d'Asami…
Son autre main s'aventura sur le torse d'Akihito dessinant les muscles.
Sa peau était devenue brulante comme de la braise. Le toucher d'Asami le rendait inévitablement hors de contrôle.
«Dis-moi ce que tu veux maintenant Takaba ? »
« Asa ...mi !!! » Akihito haletait
«Si tu ne me dis rien je ne pourrais pas continuer à te laver, à effacer toute les traces de ces hommes !!!! » Dit il en lui léchant le lobe de l'oreille tout en lui pinçant un téton.
« Haaa ... » Il n’arrivait plus à aligner deux mots.
« Alors ?! J’attends, tu veux que je te lave, ou te veux que j'arrête ?! »

La tête du jeune homme lui tournait au point qu’il n’était presque plus capable de sentir autre chose que les mains de l’homme sur son torse, son souffle dans sa nuque. Son corps tremblait, une immense frustration alors qu'Asami s'arrêtait pour lui parler au lieu de le faire s'enivrer de leur désir commun.
Le bruit de l'eau résonnait dans la salle de bain.

« Je veux ... »
« Tu veux quoi gamin? »
« Je veux que ... tu me laves, que tu m'enlève ses souillures » gémit-il honteux
« Si je le fais tu sais ce que cela sous entend mon cher Takaba?! »
Sa main empoigna la virilité d’Akihito.
Les yeux du blondinet sortirent de leurs orbites.

«Alors j’attends ... »
«Oui je sais !!! » Le photographe n’en pouvait plus, au diable sa fierté, seul la satisfaction de ce désir comptait à présent
«Seul un amant peut laver les souillures physiques… » Décida de l’aider le mafioso
«Oui ... c'est pour ça que je veux que tu le fasses… » Murmura t il dans un souffle
Asami jubilait de satisfaction et d'extase, il avait encore obtenu ce qu'il voulait, il avait encore une fois réussit à dresser son animal sauvage.
« Très bien, mais je vais en avoir pour un moment vu tout le travail que tu me donnes, la nuit va être longue Akihito » lui murmura t-il à l'oreille.

Le photographe lâcha un gémissement rauque pendant qu’Asami lui mordillait sensuellement l'oreille, ses mains passant sur son corps luisant. Des caresses sensuelles et possessives, parcourant la peau trempée, savonneuse par endroit. Collant son torse au corps frissonnant qui lui tournait le dos, Akihito grognait de plaisir alors qu'Asami dégustait son cou, mordillant léchant la nuque, nettoyant la peau souillée. Ses mains titillant les bouts de chair durcis, le jeune homme haletait, se sentant fondre sous les caresses expertes, frissonnant de plaisir alors qu'il s'appuyait complètement contre le corps chaud de son amant, la bouche de celui-ci descendait irrémédiablement vers le bas. Mordant ses hanches, léchant son échine, provoquant frissons et grognements de plaisir. Ses mains parcourant les jambes élancées alors qu’ils les écartaient doucement, continuant sa descente, obligeant son compagnon à s'appuyer contre les parois de la douche, le souffle erratique et son excitation visible... Il avança lentement la main vers son érection, mais il fut interrompu par la main d'Asami qui attrapa la sienne.
Il bloqua son bras dans son dos presque brutalement alors qu'il remontait à son oreille pour lui chuchoter :
« Tututu j'ai dit que je te nettoierai et tu savais ce que ça voulait dire, nous avons tout notre temps. »
Il retourna Akihito sans ménagement, bloquant ses mains au dessus de sa tête, l'embrassant fiévreusement, explorant sa bouche, dominant sa langue de la sienne. Un baiser possessif et brutal mais oh combien excitant. Il attisait le désir de son vis-à-vis continuant son "nettoyage". Passant ses mains chaudes sur la peau humide, caressant le ventre musclé, la taille fine, titillant toute les zones sensibles.
Tout en ne rompant pas le baiser enivrant, il laissa glisser sa main sur l'aine de son amant, caressant ses bourses, puis frôlant du bout des doigts la virilité dressée. Passant son pouce sur le gland rougit, s'attirant des halètements de son compagnon, le faisant gémir alors que sa main faisait des va-et-vient sur sa verge, et étouffant ses doux sons de sa bouche. Il lâcha les lèvres gonflées par ses baisers alors qu'il augmentait le rythme de ses mouvement de poignets, plongeant ses iris dans les yeux embué de plaisir de son amant, savourant la douce mélodie de son nom sortant de sa bouche. Akihito s'agrippait aux épaules de son vis-à-vis ses jambes ne le soutenant plus. Asami le souleva par les fesses, le plaquant contre le mur en l'obligeant à passer ses jambes autour de ses hanches, ce dont celui-ci ne se fit pas prier, alors qu'il continuait à le masturber, dévorant son cou, le parsemant de suçon alors que sa deuxième main malaxait ses fesses.
Le jeune photographe frissonnait dans ses bras, il n’était plus que sensations, inondé par le plaisir, criant son désir. Il jouit dans un râle rauque de la main de son amant qui se fit un plaisir de le nettoyer de sa semence, reposant doucement ses pieds au sol. Asami se fit un devoir de nettoyer son corps, léchant chaque parcelle de peau. Akihito eu un hoquet de plaisir quand son amant "nettoya" le reste de son plaisir sur sa verge, frissonnant alors que la langue taquine descendait encore jusqu'à atteindre ...